La société médiévale est principalement connue par des sources écrites et dominées par des hommes. Les femmes apparaissent reléguées à des rôles subordonnés et si elles ne sont pas absentes des récits historiques traditionnels, elles demeurent cantonnées à des fonctions bien précises, ou dépeintes à travers la misogynie caractéristique des intellectuels de l’Église et de l’aristocratie du temps. Notre compréhension du Moyen Âge repose en partie sur ces représentations sur les rôles sociaux selon les genres, mais vient aussi nourrir des fantasmes oscillant entre deux extrêmes ; celui d’une légende noire, considérant les femmes médiévales enfermées dans leurs carcans, soumises à d’intenses violences patriarcales et/ou incapables de la moindre agentivité, et celui d’une idéalisation rétrospective sur la liberté d’action et d’émancipation dont pouvaient bénéficier certaines femmes au parcours proprement extraordinaire.
Il convient de préciser que les textes médiévaux nous renseignent davantage sur les femmes de la haute société (aristocrates, riches bourgeoises, religieuses de haut rang) et les valeurs irriguant ces sphères, mais que la grande majorité des femmes connaissent un horizon limité et une vie marquée par le travail, reconnu ou non. La diversité des conditions se lit également sur le plan géographique, avec des situations bien distinctes selon les provinces et selon le milieu, urbain ou rural. Quels que soient leurs environnements d’origine, la vie des femmes est rythmée par les âges et les rites de passage, et fondée sur des attentes sociales fortes. Celles qui dévient de ces normes mènent des parcours originaux et/ou marginaux mais non moins significatifs pour comprendre la société de l’Occident médiéval. Celui-ci doit s’entendre comme une période d’évolution sur le temps long, entre le Ve et le XVe siècles, et peut se comprendre comme un temps de sédimentation des dynamiques issues des croisements entre les traditions gréco-romaines, celles de l’Église chrétienne et de la féodalité.
La culpabilité de la Femme : une résolution impossible ?
Un spectre hante l’Europe médiévale : celui du souvenir de la faute originelle d’Ève, qui a engendré tous les malheurs de l’humanité. Par association, l’ensemble des femmes est suspecté de provoquer des péchés par leur faiblesse, leur luxure et leur dangerosité intrinsèques. Augustin d’Hippone, considéré comme l’un des Pères de l’Église, énonce qu’il y a “une Ève à craindre en toute femme”. Le théologien de Liège Rupert de Deutz, au début du XIIe siècle, formule qu’Ève pousse Adam à la faute “à force de l’importuner par son entêtement féminin” et “qu’elle s’y est prise ainsi pour que l’homme suive sa parole plutôt que celle de Dieu”. Ces deux citations sont loin d’être des idées isolées et témoignent de la crainte qu’inspirent les femmes dans ces interprétations de la Genèse. Ainsi, elles sont considérées comme proches de la chair, des émotions et de la sensibilité tandis que les hommes visent à s’en détacher par le recours à la spiritualité, à la raison et à la force. Par la culpabilité du “sexe faible” (une expression dérivée des traditions grecques et romaines de fragilitas sexus ou infirmitas sexus), elles doivent rester sous la domination des hommes dans toutes les sphères de leur vie.

Le contrôle exercé sur les corps des femmes est justifié par la possibilité de racheter partiellement cette faute en assurant la fonction reproductrice. Donner naissance et assurer l’éducation de ses enfants représente l’idéal d’accomplissement de la femme médiévale, mais la liste des contraintes pesant sur elle ne cesse pas avec l’acquisition de ce nouveau statut. Au contraire, l’accouchement est particulièrement angoissant du fait de l’importance de la mortalité maternelle et du risque de développer des maladies. De ce fait, les femmes sont à la fois considérées comme la source de tous les maux et comme le moyen de rédemption privilégié pour l’ensemble de l’humanité. L’élévation de la Vierge Marie au rang de Mère de Dieu, lors du concile œcuménique d’Éphèse en 431, ne s’est pas traduite par une amélioration du sort des femmes durant le Haut Moyen Âge. À partir du XIe siècle, le développement du culte marial semble aller avec une période de meilleure considération, mais fait peser de nouvelles injonctions contradictoires aux femmes : elles n’ont pas la possibilité de correspondre à cet idéal de femme qui préserve sa pureté tout en assumant la maternité. De même, au milieu du XIIe siècle, la diffusion du modèle hagiographique de la vierge martyre dans La Légende dorée de Jacques de Voragine cristallise cette consécration de la pureté. Un siècle plus tard, un vers du Songe du Verger synthétise le paradoxe de ces attentes : "virginité remplit paradis, et mariage remplit la terre". Cela s’accompagne d’une angoisse existentielle au sujet de la fécondité féminine, un enjeu vital pour les épouses de souverains et pour la transmission du lignage.

Dans ce cadre, on pourrait imaginer que les sociétés médiévales prêtent un soin et une attention spécifiques aux femmes. Pourtant, les textes du Moyen Âge portent un regard très critique voire hostile à la condition féminine. Ainsi, dans son Livre des bonnes mœurs paru en 1360, le marchand Paolo da Certaldo affirme : "Nourris bien tes garçons, mais la manière dont tu nourris ta fille n’importe pas pourvu que tu la tiennes en vie". Héritage des pensées antiques d’Aristote et de Galien, approfondi par Thomas d’Aquin, la fragilité féminine se double d’un statut inférieur dans les écrits. Sur le plan juridique, à l’époque mérovingienne, dans les royaumes francs, germaniques et nordiques, le droit prévoit le prix du sang versé en réparation d’un crime. En fonction de son statut, de son âge, voire de son état de procréation, une femme et un homme pouvaient représenter un wergeld similaire, démontrant ainsi une égalité de statut théorique. Plus prosaïquement, les conditions de travail et de rémunération des femmes sont moindres, moins reconnues, plus difficiles. Des professions réglementées sont interdites aux femmes, et pour les femmes qui parviennent à succéder dans certains métiers à leurs maris décédés, l’activité économique est beaucoup plus difficile à maintenir à flots, étant donné qu’elles ne peuvent bénéficier de leur propre contribution d’appoint. Du fait de ces difficultés spécifiques, des approches moins sévères existent dans certains domaines, en particulier dans la médecine. À l’instar de Hildegarde de Bingen et de Trota de Salerne au XIIe siècle, certaines femmes se distinguent par leur empathie en tant que passeuses de savoirs. Néanmoins, à partir du XIIIe siècle, l’institutionnalisation des universités, réservées aux clercs, conduit à exclure les femmes de ces lieux d’enseignement.

Un statut déterminé par le sexe, l’âge ou le lignage ?
Si les femmes sont progressivement reléguées dans la sphère intellectuelle et scientifique, leur rapport à l’exercice du politique est un enjeu historiographique encore questionné de nos jours. La majorité des femmes de pouvoir se trouvent être des conjointes de souverains ; en ce sens, leur capacité d’agir doit davantage s’entendre comme une influence indirecte qu’une autorité souveraine. Elles sont en revanche responsables d’une charge importante dans la sphère familiale, étroitement liée à la domination seigneuriale. De même, elles jouent un rôle important de liant entre les familles nobles, ce qui leur confère une responsabilité considérable en termes diplomatiques. De nombreuses femmes en Occident ont pu exercer le pouvoir en qualité de régentes, lors de périodes transitoires ou lors de déplacements lointains et durables. Lorsque le seigneur part en guerre ou en croisade, souvent, leur femme obtient des responsabilités sur la gestion du domaine, peut se retrouver à lutter contre les seigneurs rivaux et à gérer des affaires en justice… Sous les Mérovingiens, les régences de Brunehaut sont estimées sévèrement par les chroniqueurs du temps malgré ou en raison de son action énergique. Au Moyen Âge central, les noms les plus célèbres sont respectivement Aliénor d’Aquitaine et Blanche de Castille pour l’Angleterre et la France. Pour donner des exemples régionaux, dans les années 1340, le comté de Bar et le duché de Lorraine sont tous deux dirigés par des régentes, à savoir Yolande de Flandre et Marie de Châtillon. Par ailleurs, parmi les figures de pouvoir du Moyen Âge, se distinguent les princesses-abbesses, combinant des éléments d’autorité temporelle et spirituelle au sein du Saint-Empire romain germanique. Elles dominent leur abbaye et le chapitre de dames nobles, qui aspirent à un mode de vie vertueux offrant une alternative aux attentes placées sur les femmes dès leur enfance.

Une vie de femme, quel que soit son milieu, est structurée par des temps distincts et par une éducation fondée sur des normes. En cela, le temps de la prime enfance se démarque puisque les bébés filles et garçons sont traités avec le même soin, d’abord emmaillotés, allaités, perçus comme innocents. Le christianisme joue un rôle décisif dans la considération portée aux enfants en bas âge, alors que l’Antiquité romaine les estimait comme des êtres ignorants et incapables. Les vêtements, les temps de l’éveil et des jeux sont similaires entre les sexes jusqu’à 7 ans environ, mais au fur et à mesure, l’apprentissage et l’apparence des filles divergent. Elles ont accès à des savoirs plus basiques et sont plutôt orientées vers les travaux liés au textile, à l’alimentaire et au domaine domestique. Dans les strates plus élevées, l’éducation à l’humilité, à la chasteté et à la vertu se double d’une ambition à tenir son rang. Pour les bonnes familles, l’instruction des filles n’est pas à négliger : dans le Ménagier de Paris rédigé dans les années 1390, cette idée est formulée avec emphase : "plus vous serez instruite, plus vous en serez estimée et l’honneur rejaillira sur votre famille, sur soi-même et sur tous ceux qui vous auront éduquée". En effet, la réputation de la jeune fille doit être brillante et immaculée pour prétendre s’élever, et ne possède pas la même charge de pureté selon son statut. La jeune fille a intérêt à préserver sa pudeur pour viser une union de qualité et c’est pour cette raison que les filles sont soumises à un contrôle plus étroit de la part du chef de famille.

De manière générale, la principale vocation des jeunes femmes est de s’orienter vers le mariage et la maternité. La majorité fixée par la loi canonique est de 12 ans, mais l’âge au mariage est généralement compris autour des 17 ans pour les femmes ; les hommes sont généralement âgés de cinq à six années supplémentaires, ce qui amplifie les disparités. Le mariage est un accord conclu entre deux familles, visant à transférer l’autorité du père vers l’époux, avec l’assentiment du seigneur. Ces alliances ne sont pas décisives uniquement pour les familles aristocratiques, mais également dans les milieux paysans, car l’épouse apporte une dot représentant sa part d’héritage, en échange de droits sur la terre. À partir du XIIe siècle, le mariage apparaît comme l’un des sacrements de l’Église et devient donc indissoluble. L’un des rares cas permettant de rompre ce lien survient en cas d’adultère de la part de la femme, sanctionnant l’un des traits les plus inégalitaires des relations entre les sexes ; les hommes pratiquant l’adultère se le voient reprocher par des remontrances verbales tandis que les femmes risquent de lourdes peines voire leur vie en commettant la même offense. Pourtant, à la même période, l’émergence du genre littéraire de l’amour courtois (ou fin’amor en occitan) et le développement des cours d’amour fondent l’idée que le sentiment amoureux ne se déploie pleinement qu’en-dehors de l’institution maritale. L’enjeu moral de ces joutes littéraires et juridiques est de tempérer les passions par un code aristocratique et des attitudes respectueuses. Pour autant, les sociétés médiévales sont caractérisées par des violences misogynes, en particulier à l’encontre des jeunes filles de rang inférieur (à l’image des pastourelles, jeunes bergères séduites ou abusées par un chevalier). De ce fait, les rapts et les efforcements, s’ils représentent une menace pour la bienséance et pour l’ordre social, sont monnaie courante.

Sortir des carcans : entre émancipation et marginalisation
À partir de 28 ans, les femmes ne sont plus considérées comme des jeunes filles ou adolescentes mais entrent dans la catégorie des vieilles dames, sachant que l’espérance de vie moyenne pouvait se situer entre 30 et 40 ans pour les milieux populaires, entre 40 et 50 ans pour les milieux favorisés. Certaines décèdent à des âges plus avancés, mais l’estime portée aux vieilles femmes est empreinte de mépris. Comme la bonté morale correspond à la beauté physique, et que cette dernière est caractérisée par la jeunesse, les dames âgées sont perçues comme un archétype de personnage laid donc répulsif et dangereux. Si le nombre de femmes très âgées demeure relativement rare, un phénomène beaucoup plus répandu existe dans la société médiévale en raison de l’âge au mariage : le veuvage. Près de deux femmes sur trois survivent à leur mari, ce qui questionne leur devenir et leur position dans la société. Les femmes veuves possèdent trois options : se remarier, entrer dans les ordres religieux, ou vivre seule. Cette possibilité permet à la femme d’obtenir une pleine capacité juridique et financière, d’hériter en partie de son douaire, de tenter de maintenir l’activité du mari défunt ou de mener une vie par elle-même. Toutefois, leur précarité en fait des cibles de choix pour le rapt, le rançonnement et toute sorte d’abus.

Cette place ambigüe et exposée invite les femmes à la discrétion, c’est pourquoi nombre d’entre elles choisissent, après un ou plusieurs veuvages, de se consacrer à Dieu. C’est le cas des nobles angevines Hersende de Champagne et Pétronille de Chemillé. Au début du XIIe siècle, elles deviennent respectivement première grande prieure et première abbesse de Fontevraud, une communauté monastique originale abritant à la fois des moniales et des moines, et dirigée par des femmes sans discontinuer jusqu’à 1792. Certaines femmes optent pour une voie moins contraignante par la pratique du béguinage : ces femmes s’engagent dans une vie vertueuse et pieuse, obéissant à une règle monastique, sans former de vœux religieux perpétuels. Leur indépendance leur attire des soupçons mais leur permet une relative émancipation culturelle. Les abbayes et monastères étaient des lieux privilégiés pour l’éducation intellectuelle et spirituelle des jeunes filles de la haute société. Cette condition garantit toutefois un contrôle et un conformisme collectifs, permettant de remédier à l’un des traits les plus saillants du rejet et de l’hostilité aux femmes : leur indépendance. De plus, l’instruction réservée aux femmes demeurait, y compris dans ces institutions, peu évoluée, à l’exception de certains parcours remarquables. Ainsi, les moyens de l’ascension sociale et culturelle semblent verrouillés pour les femmes des strates les plus élevées de la société, tandis que pour les couches intermédiaires, l’émergence d’une classe commerçante dans les villes permet d’augmenter les droits et responsabilités de certaines femmes de la bourgeoisie marchande. Cependant, le développement du corporatisme, des communautés et des guildes, restreint en partie le recours au travail des femmes, Les serfs, hommes comme femmes, vivent des conditions davantage nivelées entre les sexes, mais vers le bas.

Ces réalités sont principalement celles correspondant aux schémas normatifs ; certaines trajectoires diffèrent et se lisent davantage dans les marges des sociétés du temps. La croissance de la population au Moyen Âge central entraîne des dynamiques d’exode rural et un surpeuplement des villes. Inversement, les périodes de crises et de guerres tendent à intensifier la misère et le vagabondage des femmes célibataires. Pour nombre d’entre elles, peu rémunérées, isolées, maltraitées, le recours à la prostitution peut apparaître comme une manière de survivre dans un environnement violent et difficile. Les autorités laïques et ecclésiastiques condamnent formellement ces pratiques illicites, mais tolèrent son existence en tant que mal nécessaire permettant d’endiguer des fléaux plus nuisibles encore pour l’ordre social, au premier rang desquels les violences masculines, les rapts de jeunes femmes “déshonorées” ainsi que l’homosexualité. Celle-ci doit être entendue au sens large, comme les pratiques non-reproductrices ; le théologien anglais Thomas de Chobham dénonce implicitement celles et ceux qui ne “respectent pas l’ordre naturel” dans leurs pratiques charnelles. La relative indulgence envers la rétribution d’actes sexuels ne doit cependant pas masquer la désapprobation féroce et la marginalisation de plus en plus poussée que connaissaient les femmes prostituées. Cette condition, de même que toute relation sexuelle hors mariage, peut constituer un facteur aggravant lors d’affaires à caractère religieux. À partir du XIIIe siècle, les prérogatives de l’Inquisition sont de plus en plus larges ; d’abord chargée de lutter contre les hérésies, elle vise par la suite à combattre des individus et des collectifs déviants et indisciplinés, remettant en cause l’ordre social garanti par les dominants. C’est dans le contexte du Moyen Âge tardif que le combat contre les pratiques de sorcellerie et les cultes sataniques prend un tour répressif particulièrement virulent, et bien souvent détourné de son but originel. Cela touche de nombreuses femmes dans l’Occident médiéval, y compris de la noblesse, à l’image d’Alice Kyteler en Irlande dans les années 1320. Les XIVe-XVe siècles correspondent à une période de crispation sociale et politique et de relégation des femmes dans certains domaines, bien que des progrès soient constatés dans le domaine juridique.

La compréhension de la place des femmes dans la société de l’Occident médiéval connaît un renouvellement historiographique depuis une quinzaine d’années. Les questionnements par le prisme de l’agentivité a permis de renouveler certains thèmes plutôt classiques dans les études de genre, comme les rapports à la famille, au pouvoir, à l’insertion culturelle et sociale. Cela permet de nuancer l’image de femmes comme des victimes passives de la domination masculine qui s’exerce dans tous les domaines et tous les temps de la vie. Cependant, le poids du patriarcat traditionnel et des contraintes sociales et religieuses ne doit pas être minimisé. Si certaines trajectoires singulières témoignent de possibilités de naviguer dans ces eaux troubles et tourmentées, la grande majorité des femmes étaient soumises à un ordre strict. À la fin du Moyen Âge, des personnes défendent l’idée d’une égalité entre les femmes et les hommes, ce qui donne lieu à une controverse philosophique soutenue jusqu’au XXe siècle. Le texte le plus connu de la défense des femmes est La Cité des dames, rédigé en 1405 par Christine de Pizan, considérée comme la première femme de lettres de langue française ayant vécu de ses écrits. Elle y décrit une allégorie dans laquelle les femmes apportent une contribution décisive à l’édification d’une société idéale. Celle de son temps ne l’était assurément pas, mais son propre engagement constitue l’une des premières pierres visant à bâtir un ordre des sexes plus égalitaire, une lutte pour l’émancipation encore en chantier de nos jours.

Pour aller plus loin :
CASSAGNES-BROUQUET Sophie, La vie des femmes au Moyen Âge, Ouest-France, 2014.
DUFOURNAUD Nicole , "La querelle des dames à la Renaissance", Encyclopédie d'histoire numérique de l'Europe, juin 2020.
JOYE Sylvie, "Les élites féminines au Haut Moyen Âge - Historiographie", Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris - Panthéon-Sorbonne, 2003.
KLAPISCH-ZUBER Christiane & DUBY Georges & PERROT Michelle, Histoire des femmes en Occident. 2 : Le Moyen Âge, Plon, 1991.
LETT Didier & NOÛS Camille, "Les médiévistes et l’histoire des femmes et du genre : douze ans de recherche", Genre & Histoire, automne 2020.
MARK Joshua J., “Les Femmes au Moyen Âge”, World History, 2019.
MAUDOUX Julien, La vieille femme dans la littérature médiévale : (XIe-XVe siècles), Thèse de doctorat - Bordeaux-III, 2022.
OCHI Slah, "L’adultère au Moyen Âge et au XIXe siècle", HAL, 2024.
PILORGET Julie, “Les femmes au Moyen Âge, loin des idées reçues”, Les Têtes chercheuses - France Culture, août 2016.
PINEL Élodie, “Actuel Moyen Âge - Être une femme libre au Moyen Âge”, Nonfiction, 2018.
ROSSIAUD Jacques, Amours vénales : la prostitution en Occident, XIIe-XVIe siècle, Paris, Aubier-Flammarion, 2010.
SANTINELLI Emmanuelle, Des femmes éplorées ?, Presses universitaires du Septentrion, 2003.
VIENNOT Éliane, La France, les femmes et le pouvoir. L’invention de la loi salique (Ve-XVIe siècle), Paris, Perrin, 2006.
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